Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire ou, par anglicisme, réchauffement global (de l'anglais global warming), est un phénomène d'augmentation, à l'échelle mondiale et sur plusieurs années, de la température moyenne des océans et de l'atmosphère. Dans son acception commune, ce terme est appliqué au changement climatique observé depuis environ vingt-cinq ans, c'est-à-dire depuis la fin du XXe siècle.
L'existence du réchauffement est appuyée par les rapports scientifiques du GIEC rédigés par plus de 600 climatologues[4] provenant de tous les pays et validés par les gouvernements de tous les pays[5]. Ceci n'est absolument plus contesté dans les revues scientifiques.
Les causes du réchauffement sont attribuables essentiellement à l'activité humaine et en particulier à ses émissions de gaz à effet de serre. Seule une petite minorité de scientifiques, qui ne sont souvent pas des climatologues, contestait encore ceci avant le rapport AR4 du GIEC.
Le rapport AR4 de février 2007 du GIEC indique que les effets comportent entre autre une augmentation des sécheresses, pluies torrentielles, élévation du niveau des océans, canicules, cyclones violents. Le CO2 émis aujourd'hui par l'homme contribuera au réchauffement pendant plus d'un millénaire. La concentration atmosphérique du CO2 en 2005 dépassait de loin les valeurs naturelles des derniers 650 000 ans. De même pour la concentration du méthane.
Suite au rapport AR4 du GIEC, approuvé par tous les pays dont les États-Unis, 46 pays se sont engagés à lutter contre les pays qui ne réduiraient pas leurs émissions de gaz à effet de serre. Les pays principalement visés sont les États-Unis, la Russie, l'Inde et la Chine.
Selon les conclusions du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dans son rapport de 2001[6], la cause la plus probable de ce réchauffement dans la seconde moitié du XXe siècle serait le « forçage anthropique », c'est-à-dire l'augmentation dans l'atmosphère des gaz à effet de serre résultant de l'activité humaine. Il est prévu que le réchauffement planétaire se poursuive au cours du XXIe siècle mais l'amplitude de ce réchauffement est débattue. Selon les hypothèses retenues et les modèles employés, les prévisions pour les 50 années à venir vont de 1,8 à 3,4 °C.
L'hypothèse d'un lien entre la température moyenne du globe et le taux de gaz carbonique dans l'atmosphère a été formulée pour la première fois en 1894 par Svante Arrhenius. En 1979, lors de la première conférence mondiale sur le climat, est avancée pour la première fois sur la scène internationale l'éventualité d’un impact de l'activité humaine sur le climat. L'adhésion assez massive de certains scientifiques à cette cause est récente, mais une controverse existe dans ce milieu quant aux causes de ce réchauffement. Des climatologues soutiennent en effet que le réchauffement observé n'est que la conséquence de phénomènes naturels (telles que les fluctuations de l'activité solaire et celles de l’orbite terrestre). Cette position est cependant fortement minoritaire parmi les climatologues.
L'existence du réchauffement est appuyée par les rapports scientifiques du GIEC rédigés par plus de 600 climatologues[4] provenant de tous les pays et validés par les gouvernements de tous les pays[5]. Ceci n'est absolument plus contesté dans les revues scientifiques.
Les causes du réchauffement sont attribuables essentiellement à l'activité humaine et en particulier à ses émissions de gaz à effet de serre. Seule une petite minorité de scientifiques, qui ne sont souvent pas des climatologues, contestait encore ceci avant le rapport AR4 du GIEC.
Le rapport AR4 de février 2007 du GIEC indique que les effets comportent entre autre une augmentation des sécheresses, pluies torrentielles, élévation du niveau des océans, canicules, cyclones violents. Le CO2 émis aujourd'hui par l'homme contribuera au réchauffement pendant plus d'un millénaire. La concentration atmosphérique du CO2 en 2005 dépassait de loin les valeurs naturelles des derniers 650 000 ans. De même pour la concentration du méthane.
Suite au rapport AR4 du GIEC, approuvé par tous les pays dont les États-Unis, 46 pays se sont engagés à lutter contre les pays qui ne réduiraient pas leurs émissions de gaz à effet de serre. Les pays principalement visés sont les États-Unis, la Russie, l'Inde et la Chine.
Selon les conclusions du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dans son rapport de 2001[6], la cause la plus probable de ce réchauffement dans la seconde moitié du XXe siècle serait le « forçage anthropique », c'est-à-dire l'augmentation dans l'atmosphère des gaz à effet de serre résultant de l'activité humaine. Il est prévu que le réchauffement planétaire se poursuive au cours du XXIe siècle mais l'amplitude de ce réchauffement est débattue. Selon les hypothèses retenues et les modèles employés, les prévisions pour les 50 années à venir vont de 1,8 à 3,4 °C.
L'hypothèse d'un lien entre la température moyenne du globe et le taux de gaz carbonique dans l'atmosphère a été formulée pour la première fois en 1894 par Svante Arrhenius. En 1979, lors de la première conférence mondiale sur le climat, est avancée pour la première fois sur la scène internationale l'éventualité d’un impact de l'activité humaine sur le climat. L'adhésion assez massive de certains scientifiques à cette cause est récente, mais une controverse existe dans ce milieu quant aux causes de ce réchauffement. Des climatologues soutiennent en effet que le réchauffement observé n'est que la conséquence de phénomènes naturels (telles que les fluctuations de l'activité solaire et celles de l’orbite terrestre). Cette position est cependant fortement minoritaire parmi les climatologues.
ไม่มีความคิดเห็น:
แสดงความคิดเห็น